Des mascottes folles dans un love hôtel désaffecté Promise Mascot Agency vous propulse dans la peau d’un ex-yakuza reconverti en directeur d’une agence de mascottes… dans un ancien love hôtel. Les mascottes à recruter ? Vulgarités ambulantes, dépressions animées et personnages psychotiques, chacun avec sa personnalité. Le but ? Relancer l’agence, rembourser vos dettes et revitaliser une ville délabrée. Entre gestion, exploration et conduite déjantée Le jeu empile joyeusement les genres : visual novel, conduite arcade, collection de cartes, missions secondaires et exploration en ville ouverte. Vous vous baladez à bord d’un van customisable, sautez, driftez, survolez les rues en quête de clients et d’histoires absurdes à vivre avec vos mascottes. Dialogues perchés et humour 100 % maîtrisé Le cœur du jeu, c’est son humour trash, absurde et parfois très cru. Chaque échange est une claque, notamment grâce à Pinky, votre assistante-pouce géante, qui ponctue tout de sarcasmes et de remarques borderline. L’écriture est brillante, acérée, et jamais gratuite. Une galerie de mascottes aussi dérangeantes qu’attachantes Chaque mascotte a un passé, une personnalité, une faiblesse, un style. En mission, vous pouvez leur venir en aide grâce à des cartes héros à jouer. C’est un joyeux chaos constant, mais tout fonctionne étonnamment bien ensemble, avec un vrai rythme et une montée en puissance narrative. Verdict : le bordel génial que vous n’attendiez pas Avec Promise Mascot Agency, Kaizen Game Works signe un ovni vidéoludique entre Like a Dragon, No More Heroes et Paradise Killer. Absurde, touchant, délirant, répétitif mais jamais ennuyeux : un vrai bijou pour ceux qui aiment l’étrange bien écrit.